Hier soir, en pleine soirée The Sinners, mue soudain par un pressentiment, je regarde ma montre, et là, ce choc : comment ça il est presque 5h du matin ! Mais non ! Où est passé le temps, qu’ai-je fait depuis mon arrivée (22h, ticket vestiaire numéro 1, yeah) : danser, bavarder, des retrouvailles avec des amies que je n’avais pas vues depuis longtemps – quel plaisir (coupable), de les revoir !! Des amis aussi…
L’inquiétude me saisit : la soirée se termine-t-elle à 5h ou 6h, je ne sais plus… J’avise un membre du staff :
— à quelle heure se finit la soirée déjà ?
— 5h10 !
Je me retiens d’exploser de rire.
— 5h10 ! Mais c’est quoi cet horaire !?
— C’est comme ça ^^ à 5h10, extinction de la musique….
Je ne veux pas vivre ce moment atroce qui nous arrache de notre transe, interrompt brutalement la fête, et la ruée qui s’ensuit vers le vestiaire (au top mais quand même) Je m’enfuis, regrettant d’interrompre tant de plaisirs encore espérés, à peine esquissés…
Et ce « matin » : réveil à 14h !
Glarg… pile pour le café du déjeuner en famille. Ça tombe bien, j’ai envie de café, et de tartines au lieu du poulet. Et là je sors tout juste de mon brunch, et la nuit tombe, la journée s’est déjà dissoute comme un comprimé effervescent dans de l’eau, pshittttt… (remède dont je n’ai nul besoin, étant resté presque sobre, malgré l’ambiance au bar – je ne vise personne, mais peut-être quelqu’un se reconnaîtra ^^)
Bon, je n’ai raconté que les ultimes minutes de la soirée The Sinners Fetish Party et sa peu glorieuse suite, je garde pour moi mes agissements et ceux des autres…
Une soirée mémorable, on s’est amusés comme jamais !! C’était génial !
Un grand merci aux organisateurs et à toute leur équipe pour nous offrir ce formidable terrain de jeu tout équipé où nous ébattre, avec la musique qui nous emporte
(et note à moi-même : ne jamais dire à un ami venant vers moi, ce dont je me réjouis : « je vais me poser cinq minutes, on se voit plus tard… » car cela n’arrivera plus jamais, l’occasion de nous retrouver est passée et ne se représentera plus)
Selfie pris vite fait avant de partir
(finalement le masque n’a pas fait long feu sur mes yeux, il restait bancal, je me suis empressée de le confier à Pat notre masseur bdsm préféré)