Aujourd’hui, on fête la journée mondiale du poulpe ! 🐙
Mon animal préféré, je pense, à la fois curieux et timide, solitaire et affectueux, curieux, inventif, doué de mémoire, coopérant parfois… expert dans l’art du camouflage et projetant une encre noire à l’occasion sur ses poursuivants.
Dernière découverte en date : certains se regroupent dans des communautés, et construisent des villes en coquillages et débris de crustacés…
Les pieuvres m’évoquent des histoires fantastiques, des monstres à tentacules… et des histoires érotiques aussi, avec leurs multiples bras souples pouvant enlacer et caresser partout à la fois, sans oublier le fameux « Baiser de la pieuvre » japonais…
Je recopie quelques commentaires Facebook :
Le drame des poulpes c’est que la maman poulpe ventile ses oeufs pendant un mois. Oubliant de s’alimenter. Lorsque les bébés poulpes naissent la maman meurt. C’est triste et c’est vrai. Ce qui fait que les poulpes doivent tout apprendre tout seul. Le papa poulpe est passé à d’autre occupation depuis longtemps. (Comme d’hab) si les poulpes pouvait bénéficier de l’expérience de leurs parents, ils auraient été sur la lune bien avant les humains.
… et pour finir la séquence bio j’ai souvent observé le mimétisme des poulpes. C’est visuel. Ils imitent la couleur et la texture du support sur lequel il est. C’est déjà extraordinaire. Mais pas suffisant pour échapper à tous les prédateur qui rodent. Parce que les prédateurs utilisent leur vue juste avant d’ouvrir la bouche. Mais alors quel sens utilisent t’ils pour prédater ? Les vibrations. Tous les poissons sont des capteurs de vibrations. Et particulièrement ceux qui chassent la nuit et dans l’eau trouble. Alors le poulpe pour echapper encore mieux à ses prédateurs qui ne rêvent que de le boulotter stoppe de vibrer et d’émettre des signaux de vie. Il devient aussi invisible qu’une algue.
Photo prise sur le net, créditée ou retirée sur simple demande