Les bougies

   Cette belle photo d’Olivier Parent vient de réapparaître dans mes souvenirs FB — elle accompagnait la sortie de notre roman « Le frisson de la cire sur ta peau », écrit avec Julie Derussy.

   Les bougies, nous accompagnent souvent, pour toutes sortes de situations :
— Romantiques : la touche finale d’un dîner en amoureux, pour une lumière tamisée propice aux rapprochements, mettre en valeur le champagne qui pétille dans les coupes et la vaisselle dorée, et améliorer les teints brouillés des convives
— Méditatives : l’accessoire indispensable des salons de massage, des stages zen, tantra etc., favorisant la détente et la relaxation. Elles se retrouvent souvent dans les salles de bains, pour accompagner un bain moussant.
— Festives : incontournables sur les gâteaux d’anniversaire, pour les souffler en chantant et projeter du sucre glace partout en postillonnant sur la crème à la vanille.
— Spirituelles : rebaptisées cierges dans les églises, utilisées comme une aide à la prière, pour demander une faveur, en souvenir d’un proche, lors de processions…
— Fantastiques : elles sont de tous les rituels et cérémonies magiques, incantations, sortilèges, invocations, voyance, divination…
— Historiques : accessoire du quotidien autrefois pour s’éclairer, lire dans son lit, et décorer l’arbre de Noël (cette mauvaise idée ^^)
— Érotiques : le « wax play » une pratique BD*M à part entière, infliger la douleur de la cire brûlante coulant sur la peau. Des bougies spéciales sont aussi utilisées pour faire des massages.
  
   J’en oublie ?
   Et moi je les utilise comme mini feu d’appartement, j’aime la lumière dansante de la petite flamme, la fumée qui s’envole et son parfum de cire chaude, à défaut d’une bonne flambée qui crépite et embaume (jusqu’à ce qu’on me dise que je suis en train d’intoxiquer tout le monde avec les COV, ce qui casse un peu la magie ^^)