Il nous avait manqué l’an dernier, il revient enfin, pour notre plus grande joie : Le Salon de la littérature érotique. Un salon à l’initiative des « Polissonneries », en partenariat avec La Musardine, à la fois éditeur de livres érotiques et librairie parisienne bien-aimée dédiée à l’érotisme ; et Lelo, marque de sextoys haut de gamme. Les « Pollissoneries » organisent très régulièrement des ateliers d’écriture, sous la houlette de sa fondatrice, Flore Cherry.
Une pléiade d’écrivains seront en dédicace, je vous mets la liste ci-dessous — je reconnais plusieurs amies que je serai très contente de revoir ! Je rêve en secret de me joindre à elles un jour… 🙂
Le salon propose en parallèle tout un cycle de conférences sur des sujets plus passionnants les uns que les autres, autour de l’écriture et de la littérature érotique, et de l’érotisme en général ; j’ai bien noté par exemple une présentation des derniers sextoys LELO ;-).
Nous n’allons pas nous contenter de suivre des conférences et bavarder avec des autrices (et un auteur !), nous serons invités à participer à des défis d’écriture ; il y aura sûrement des cadeaux à gagner, et comme toujours, on sera au taquet 😉
Une après-midi de rencontres, de rires et de jeux en perspective dont je me réjouis d’avance, qui se terminera en musique, avec Julia Palombe et ses super chansons rock et sexy.
Informations pratiques
L’événenement Facebook
Billetterie
Le 28 novembre de 15h à 21h à la Bellevilloise :
19-21 Rue Boyer, 75020 Paris
(Métro Gambetta ou Ménilmontant)
Coût : 10 euros
La page Facebook des polissoneries
La Musardine
LELO
2 commentaires
J’aime bien tes jeux de mots Oui, je l’ai remarqué également ! Un seul homme invité en dédicaces,et c’est révélateur de la production actuelle… J’ai assisté à une conférence où Anne Hautecoeur constatait elle aussi ce phénomène : la prépondérance des femmes dans la littérature érotique depuis plusieurs années. La parole des femmes s’est libérée sur le sujet ! (même si de nombreuses autrices érotiques avaient ouvert la voie : Anais Nin, Pauline Réage, Régine Deforges… Peut-être qu’aujourd’hui les hommes préfèrent l’image et le porno, et les femmes les mots ? Cela dit, je connais plusieurs hommes auteurs de littérature érotique, Guillaume Perrotte par exemple, pour ne citer que lui !
Je me suis posé la question de cet étonnant déséquilibre entre autrices et auteur dans l’édition 2021. Est-ce un choix éditorial ? Est-ce le reflet de la production actuelle ? Un concours de circonstances ?
Où sont les mecs, quand il ne s’agit pas de se faire tailler une plume, mais de l’utiliser ?! 😁