C’est ce week-end !
Je m’étais bien amusée l’an dernier… Un festival pour tous les amateurs et amatrices de films d’épouvante, et les curieux et curieuses, qui aiment frisonner, trembler, crier, grincer des dents, avoir des hauts le cœur ou le cœur qui bondit, s’arrête, repart à 100 à l’heure… une façon d’éprouver des émotions fortes sans se risquer sur des montagnes russes… Et c’est aussi l’occasion de se jeter sur son voisin pour le mettre en pièces, à l’instar de ce qui se passe à l’écran !
Le tout sous la houlette du directeur de festival le plus déjanté qui soit, j’ai nommé Tinam Bordage (ambiance garantie dans la salle et au bar)
Le festival s’ouvre avec un film très prometteur : érotique et gore à la fois : Justine.
J’ai noté aussi la diffusion du court métrage de l’organisateur : Romance post-mortem, une passion dévorante ^^, entrevue à travers mes doigts l’an dernier, et que j’aimerais bien revoir en entier cette fois, si je peux m’échapper.
Clou du festival : la nuit blanche de samedi, où les spectateurs et spectatrices se transforment peu à peu en créatures de la nuit et démons variés, au fil des horreurs pénétrant leurs pupilles et envahissant leurs cerveaux !
– Un souvenir de jeunesse remonte à la surface : ce garçon qui m’emmenait voir des films d’horreur au cinéma (parfois deux d’affilée). Je ne voyais rien, blottie contre son torse, enfouie dans son pull… Il me serrait fort contre lui, espérant aller plus loin, après tous ses films inspirants… ça a fini par « marcher », mais j’ai aussitôt mis le holà sur les films d’horreur, et réclamé de la SF ! Jusqu’à l’an dernier…
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