« Les écrivains se nourrissent des autres » (Tatiana de Rosnay)
Je dirais qu’ils se nourrissent aussi d’eux-mêmes, de leurs propres histoires, de leurs ressentis, de leurs émotions… ils se dévorent et se rongent jusqu’à l’os, avant de renaître intacts, une fois leur texte terminé !
– Ensuite, ce texte sera publié, oublié, brûlé… peu importe, il a été écrit, et l’écrivain se sent soulagé d’un grand poids, il est prêt à revivre intensément !
Tableau : Le baiser de la muse, de Félix Nicolas Frillié