Écriture inclusive

Autant je n’ai rien contre l’écriture inclusive dans les articles, les essais, les documents variés, administratifs, notices, les manuels et guides pratiques, etc… bien au contraire… Autant dans un roman, ça m’arrache brusquement de ma lecture, et c’est désagréable ! Je sais que c’est une question d’habitude mais quand même (en plus, dans le livre que je lis, le point n’est pas bien positionné, il est trop bas, vous allez dire que je suis maniaque, mais quitte à faire le choix de l’écriture inclusive, autant le faire bien …)


En même temps, je sais bien que le français est une langue vivante, qui évolue, s’adapte, s’enrichit, s’allège, subit et bénéficie d’influences diverses… Cette missive du XVIIe montre bien l’évolution de notre langue, n’en déplaise aux puristes…- Et je ne vous parle pas de sa version manuscrite, absolument illisible pour nos yeux du XXIe…
Bref, comme toujours, entre les deux mon cœur varie !
– j’espère ne pas relancer un débat apaisé

 

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