Gustav Clauvel illustre un passage de mon roman, Le Village des soumises :
Le bal masqué bat son plein, Chloé et Paul, viennent de se rencontrer et ne se quittent plus :
« Chloé soupire de joie et s’offre à la plus belle queue qu’elle ait rencontrée depuis son arrivée. Son appréhension disparaît complètement, elle s’abandonne à l’étreinte de Paul. Le jeune homme, à genoux derrière elle, se presse contre ses fesses, allant et venant puissamment en elle.
Un cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Ils se tiennent respectueusement à distance et regardent en se masturbant. Des soumises surgissent d’on ne sait où et se jettent à leurs pieds pour remplacer leurs mains par leurs bouches. Une orgie démarre à nouveau, mais cette fois, Paul et Chloé n’en sont plus absents ou indifférents. Ils en sont le centre, et inspirent les queues qui les entourent et s’activent dans les mains de leurs propriétaires ou les bouches disponibles. Un concert de gémissements se joint aux cris de Chloé ».