Le dernier jour des vacances, je choisis des spécialités à offrir à la famille : du touron de chez Daranatz, mmmm une tuerie 
, et du piment d’espelette dans la boutique voisine – on en trouve partout maintenant, mais c’est pour le symbole 
, et du piment d’espelette dans la boutique voisine – on en trouve partout maintenant, mais c’est pour le symbole Et là, je marque un temps ; le vendeur est beau comme un mannequin Hugo boss qui passerait sa vie à surfer sur les vagues ! Beau au point qu’il est difficile de le regarder en face, même en n’étant pas intéressée…
– Si vous avez des questions, n’hésitez pas surtout…
– Heu, non, merci…
Mais pourquoi aucune question ne me vient ! J’aurais pu l’interroger sur l’histoire du piment d’espelette depuis la nuit des temps et avoir tout le loisir de le contempler !
Je repars le plus vite possible avec mes petits pots de piments, tout en réfléchissant à une éventuelle prochaine visite à la boutique sous n’importe quel prétexte : on pourrait aussi rapporter un jambon entier, non ? C’est typique !
Et cette fois, je le regarderai…
